Ceci est une mise à jour de la Soupe italienne d’hiver que j’avais publiée il y a bien longtemps. Toujours d’inspiration vaguement italienne.
On sert la soupe surmontée de quelques haricots de Soissons rôtis à l’ail.

Ceci est une mise à jour de la Soupe italienne d’hiver que j’avais publiée il y a bien longtemps. Toujours d’inspiration vaguement italienne.
On sert la soupe surmontée de quelques haricots de Soissons rôtis à l’ail.
Le plus beau pain que j’ai réalisé jusqu’à maintenant. A la farine bise à 100%, au levain, bien entendu, et surtout avec du petit lait de soja, reliquat de mon (premier) tofu maison.
(suite…)Des buns parfaits basés sur la recette de Cuchaule (sans safran, bien évidemment).
(suite…)C’est vraiment ça qu’a dit Gremo quand elle est sortie du four (la cuchaule, donc). Pourtant, l’apprêt – du moins sa théorie – de cette cuchaule végane (les gruyérien·ne·s seront fâché·e·s) , est de son fait.
(suite…)Tentative d’un nouveau Roggenbrot, en suivant une recette plus fidèle à la tradition.
(suite…)Très bonne pâte au levain avec les restes de fonds de farine: farine fleur, farine de seigle et épeautre.
(suite…)Tout est dans le titre 🙂
Les asperges sont fondantes mais consistantes – et le risotto aussi. D’ailleurs.
(suite…)C’est pas des vraies arancini, car j’ai utilisé le risotto d’hier… Et je pense qu’un·e vrai·e cuisto italien·e me truciderait d’avoir mis du tofu dedans.
(suite…)Une variante « de printemps » de la soupe italienne d’hiver, pour nos 17 ans en commun.
(suite…)ENFIN ! J’ai réussi à faire – plusieurs fois de suite, mais oui ! – des yogourts au lait de soja maison. Donc: des yogourts « maison » , de lait de soja « maison. » C’est 100% fait même.
(suite…)Une adaptation végétalienne de la fantastique recette de Félix Cunéo. Le lait d’amande se sent à peine, mais il est là, tout comme le délicat arôme du levain d’épeautre. Je suis nul en tressage, mais le goût et la texture sont parfaits.
(suite…)1 litre de lait, à partir des graines de soja séchées trouvé au vrac « La Brouette » à Lausanne. Une recette « défi », mais qui permet de réaliser, ensuite, des « yoghourts » au soja.
(suite…)Un gâteau à la texture très légère, nappé de sirop d’érable, il rappelle le pancake.
(suite…)Cette pizza au levain rustique était délicieuse. Elle mêle des saveurs des alpes (les chénopodes) avec celle de l’Italie voisine et de la Grèce lointaine.
Les chénopodes bon-henri (qu’on appelle parfois épinards sauvages) poussent comme des mauvaises herbes autour du chalet. Gremo en a ramassé une petite touffe de jeunes pousses pour les rajouter à la pizza. Tout juste blanchis à l’eau, leur légère amertume relève le goût du levain et s’accorde fort bien à la fêta.
J’ai basé la recette de la pâte à pizza au levain sur celle de My Girly Popotte en la rendant plus rustique grâce à des restes de rafraîchis de levain de seigle accumulés au frigo. Ce fut un succès total: la pâte était très fine — que j’ai bien cru avoir ratée au moment de l’étaler. Elle a tellement levé qu’on aurait dit un mousse. Elle se déchirait facilement; un·e vrai·e pizzaïolo·a n’aurait pas apprécié… — le goût parfait, et la texture ultra-croquante. Probablement une des meilleure pâte maison que nous n’ayons jamais réalisée.
Il ne faut pas confondre ces restes de levain de seigle, que j’accumule à mesure que je rafraîchi mon levain de jour en jour (je ne jette pas mes surplus, je les empile dans un bocal au frigo), avec le « vrai » levain, celui qui va servir à faire pousser la pâte.
Si on a pas ce genre de restes de rafraîchis au frigo, ou si on en a pas autant que dans la recette, il suffit de remplacer par l’équivalent en poids de farine de seigle et d’eau. Dans le cas de la recette ci-dessous, il faudrait rajouter 100g de farine de seigle et 100g d’eau. Idem si on a pas assez de ce « vieux » levain. Admettons qu’on en ait que 100g, alors on l’utilisera, et on rajoutera, à la recette, 50g d’eau et 50g de farine de seigle.
Un cake citronné et rustique pour utiliser les restes de levain de la semaine. Il est inspiré très largement de cette recette du Coconut, et du fameux Cake imbibé au citron de Betty Bossi.
J’ai tenté ces deux dernières semaines de créer mon propre levain. Ce n’était pas la première tentative, mais la première réussie. J’ai même deux levains, celui, de base, nourri au seigle (de la farine de seigle égrugé de la Coop), et l’autre, né d’une tentative de sauvetage réussi de ce même levain au seigle que je croyais mort (alors qu’en fait: non, au contraire), que je nourri à la farine mi-blanche bio (de la Coop, aussi).
J’utilise, pour le moment, les farines de la Coop, car elles sont clairement estampillées « bio ». Il n’y avait pas ce genre de choses à la Migros. Or, celles de Migros sont (presque toutes) au label « Terra Suisse ». Et si on en croit le WWF, ce label n’est pas si pire, du moins, pas pire que les bios européens… Bref. Plus c’est bio, mieux c’est, mais c’est quand même royalement compliqué tout ça….
Pour cette recette de cake, j’ai utilisé un mélange de reste de levain – les « rafraîchis » que je n’ai pas voulu jeter dans la semaine. Il s’agit principalement de seigle, donc. J’ai sorti mon bocal environ deux heures avant de débuter la préparation.
Je voulais tenter une version végétalienne, j’ai donc remplacé les oeufs par un mix de yaourt soja, de purée de cajou, et d’un « oeuf de chia » (c’est-à-dire de la chia mélangée à de l’eau – on peut aussi utiliser des graînes de lin, c’est même plus « local », mais il se trouve que j’avais un sachet de chia ouvert, donc j’ai utilisé ça). Comme ces « faux oeufs » font moins office de levant que les vrais oeufs, j’ai mis passablement de levain (160g). Je pense qu’en utilisant des vrais oeufs, on peut réduire le levain à 100g comme indiqué sur le Coconut Blog.
Ici, au chalet, je n’avais pas de vrai citron à disposition, j’ai donc utilisé du jus de citron acheté (mais du vrai jus de citron, pas du jus « au goût de citron). On peut évidemment utiliser des vrais citron, et s’ils sont bios, ajouter leur zeste à la farce.
Encore une (très légère) adaptation d’une recette du très bon blog Un déjeuner de soleil, cette fois une aubergine rôtie, parfaite pour l’été.
Voir la recette ici pour les détails, voici nos adaptations:
Pour deux personnes nous avons choisi deux aubergines de taille raisonnable.
Comme notre four d’alpage est très vieux et n’a pas de fonction air pulsé, j’ai badigeonné les aubergines d’huile d’olive, afin d’éviter qu’elles ne sèchent, mais que la peau devienne quand même croquante, puis parsemé de fleur de sel.
Le temps de cuisson a été beaucoup plus long que préconisé dans la recette, environ 45mn, probablement car notre four chauffe moins bien (réglé à 230°, puis 200°, au lieu des 200°/180° indiqués).
La mixture « yaourt grec + feta » a été assaisonnée de menthe du jardin, et de persil (sec), sel, poivre huile d’olive.
Une fois les aubergines ouvertes, nous avons assaissonné l’intérieur de sel, poivre du moulin, et de fleurs du serpolet qui pousse au coin du chalet. C’est délicieux !
Nous avons servi une aubergine entière par personne, sur un lit de salade de tomates cerises du valais (huile au romarin, pointe de balsamique, et le reste de la feta émiettée), et un couscous tout simple. C’est amplement suffisant en terme de quantité, et les accords sont doux, frais et sensibles. Un plat parfait pour une soirée d’été.
Une pizza polenta librement adaptée de Un déjeuner de soleil. Très fraîche, sans fromage fondu, mais une pointe de parmesan, et surtout la douceurs des morilles.
Si les morilles fraiches ne sont pas arrivée, il est tout à fait possible d’utiliser les séchées. D’ailleurs, le seul élément frais et printanier de la recette sont les épinards, vraiments faciles à trouver.
Edit du 20.5.19: mise à jour de la recette avec de nouvelles quantité et option d’assaisonnement pour la base (moins d’eau, plus de maïs, plus de sel…)