Quand j’ai commencé à réfléchir à quitter Meta, j’ai demandé à ChatGPT comment m’y prendre. Je me suis depuis désabonné de ce service, mais – tant qu’à faire – autant que ça serve. Voici une concaténation un brin décousue des indications fournées par ce robot.
Nous avions bien ri, quand je me suis mis ce slip blanc sur la tête, et cette couverture sur les épaules. C’était il y a quelques années, l’esthétisation léchée de la première saison de La Servante écarlate nous avait bluffés.
Aujourd’hui, alors que le fascisme explose aussi rapidement que dans cette alors impensable fiction, j’ai décidé de réutiliser cette image pour illustrer ce post explicatif.
Avec moins de levain, le pain lève plus longtemps, le goût se développe. Le résultat est moins impressionnant que la recette « simple », et le temps de préparation est plus long. En fonction de son organisation, c’est parfois plus pratique, on peut le laisser lever toute la nuit et un bon bout de la journée, par exemple.
Le plus beau pain que j’ai réalisé jusqu’à maintenant. A la farine bise à 100%, au levain, bien entendu, et surtout avec du petit lait de soja, reliquat de mon (premier) tofu maison.
C’est vraiment ça qu’a dit Gremo quand elle est sortie du four (la cuchaule, donc). Pourtant, l’apprêt – du moins sa théorie – de cette cuchaule végane (les gruyérien·ne·s seront fâché·e·s) , est de son fait.
C’est pas des vraies arancini, car j’ai utilisé le risotto d’hier… Et je pense qu’un·e vrai·e cuisto italien·e me truciderait d’avoir mis du tofu dedans.
ENFIN ! J’ai réussi à faire – plusieurs fois de suite, mais oui ! – des yogourts au lait de soja maison. Donc: des yogourts « maison » , de lait de soja « maison. » C’est 100% fait même.
La recette n’est pas parfaite, mais on s’en approche. J’ai tenté un taux d’humidité élevé (77%), et moins de levain (20% au lieu des 30% habituels). Belle texture aérée, même si le pain s’est aplati en début de cuisson, goût de levain et d’épeautre très prononcé. Ma cuisson aurait pu être un peu plus longue pour avoir une croûte plus… croûtue…
Une adaptation végétalienne de la fantastique recette de Félix Cunéo. Le lait d’amande se sent à peine, mais il est là, tout comme le délicat arôme du levain d’épeautre. Je suis nul en tressage, mais le goût et la texture sont parfaits.
1 litre de lait, à partir des graines de soja séchées trouvé au vrac « La Brouette » à Lausanne. Une recette « défi », mais qui permet de réaliser, ensuite, des « yoghourts » au soja.